
CE BLOG EST DEDIE A MA MERE ,MON PERE,MES FRERES, MES SOEURS, MA FAMILLE, MES AMIS A SIDI BOU SAID ET TOUS MES AMIS DE SKYPE 2007 (CE BLOG CONTIENT AUSSI DES IMAGES DE TOUTE LA TUNISIE AVANT L INDEPEDANCE ,POUR FAIRE PLAISIR A MES AMIS DE SKYPE)

لا تأسفنّ على غدر الزمان لطالما - رقصت على جثث الأسـود كلابُ لا تحسبنّ برقصـها تعلـو على أسيادها - فالاسدُ أسدٌ والكلابُ كلابُ تبقى الأسود مخيفةً في أسـرها - حتى وإن نبحتْ عليها كـــلابُ
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Hôtel Sidi Bou Saïd 2026 Sidi Bou Said
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Hôtel Boufarès 15 rue Sidi Bou Farès2026 Sidi Bou Said
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le baron d erlanger

TEXTE EN FRANCAIS SUR LE BARON
Portrait d’un baron français ayant œuvré pour le dialogue des culturesPar Faouzi BentaraLe baron d’Erlanger symbolisant l’ouverture d’esprit et le dialogue des cultures, un atelier de musique vandopérien, né il y a dix ans, porte son nom. Portrait d’un homme méconnu que rien ne prédestinait à se passionner pour la musique arabe.
"De tes précieux bienfaits les Arts et les Lettres se souviennent, Et des larmes sont versées à ta mémoire par la musique arabe. Par tes soins, elle renaît, immortelle, et embellit de sa parure les siècles ; Baron, tu as tourné le dos à la vie, et, t’élevant dans le ciel, tu as disparu. Ton souvenir sera gravé dans notre mémoire, et nous le perpétuerons comme un devoir ; C’est là un témoignage de la fidélité de l’Art à son Père Spirituel".
Ce poème, traduit de l’arabe, constitue le témoignage de reconnaissance de l’Association de la musique tunisienne qu’on peut lire sur la pierre tombale du baron d’Erlanger, décédé à Tunis le 29 octobre de l’année 1932 à l’âge de soixante ans.
Le baron Rodolphe d’Erlanger, né le 7 juin 1872 à Boulogne, dans une famille de riches banquiers, passe les vingt dernières années de sa vie à Sidi Bou Saïd (le nom de cette bourgade aux environs de Tunis serait celui d’un marabout tunisien du nom de Abou Saïd El Béji, 1160-1231) [1]. D’Erlanger fait construire à Sidi Bou Saïd un palais selon les normes de l’architecture andalouse - avec notamment la participation d’ouvriers marocains - et il appelle son palais Ennejma Ezzohra, "l’Etoile de Vénus".
Dans ce lieu prestigieux, d’Erlanger s’adonne à la peinture (précisément, en tant que portraitiste orientaliste), s’entoure de musiciens de l’époque, d’origines diverses et s’initie à la cithare sur table (le qanoûn). Il s’intéresse également aux traités musicaux arabes du Moyen-âge et finit par entamer son projet colossale qui prévoit, entre autres, la traduction de ces traités en français, la collecte et la transcription des répertoires musicaux de son époque.
Ses travaux et son intérêt pour la musique sont d’une importance telle que Farouk, le roi égyptien de l’époque, le charge de la préparation du Ier Congrès de la musique arabe, qui se tient du 28 mars au 3 avril 1932. D’Erlanger y travaille avec l’aide de musiciens tunisiens et proche-orientaux, ainsi que du baron, arabisant, Carra De Vaux. Malheureusement, sa santé ne lui permet pas de se rendre au Caire pour participer au congrès ; il décède le 29 octobre de la même année.
Grâce à ses collaborateurs, notamment son secrétaire Mannoubî Snoussî, le musicologue Henri George Farmer, le baron Carra De Vaux, le Syrien Alî Darwîsh et le Tunisien Ahmed al-Wâfi, six tomes sur la musique arabe vont voir le jour : le premier est publié du vivant de son auteur (en 1930), les cinq autres, respectivement, en 1935, 1938, 1939, 1949 et 1959.
Les travaux de d’Erlanger constituent une source d’informations incontournable pour les musiciens et les chercheurs. Le congrès du Caire, dont d’Erlanger a été la cheville ouvrière, a réuni des musiciens d’origines diverses, notamment des Occidentaux, comme Bartok et Hindemith, ainsi que le Turc Raoûf Yekta. Tous ont travaillé côte à côte pour consigner et appeler à la préservation d’un patrimoine qui, en définitive, appartient à l’Humanité tout entière, un patrimoine auquel ont participé aussi bien les Grecs que les Indiens, les Perses et les Arabes, et dont les musiciens et poètes européens du Moyen-ge à l’époque de l’Espagne andalouse se seraient inspirés, les Troubadours, puis les Trouvères et les Minnesänger.
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"De tes précieux bienfaits les Arts et les Lettres se souviennent, Et des larmes sont versées à ta mémoire par la musique arabe. Par tes soins, elle renaît, immortelle, et embellit de sa parure les siècles ; Baron, tu as tourné le dos à la vie, et, t’élevant dans le ciel, tu as disparu. Ton souvenir sera gravé dans notre mémoire, et nous le perpétuerons comme un devoir ; C’est là un témoignage de la fidélité de l’Art à son Père Spirituel".
Ce poème, traduit de l’arabe, constitue le témoignage de reconnaissance de l’Association de la musique tunisienne qu’on peut lire sur la pierre tombale du baron d’Erlanger, décédé à Tunis le 29 octobre de l’année 1932 à l’âge de soixante ans.
Le baron Rodolphe d’Erlanger, né le 7 juin 1872 à Boulogne, dans une famille de riches banquiers, passe les vingt dernières années de sa vie à Sidi Bou Saïd (le nom de cette bourgade aux environs de Tunis serait celui d’un marabout tunisien du nom de Abou Saïd El Béji, 1160-1231) [1]. D’Erlanger fait construire à Sidi Bou Saïd un palais selon les normes de l’architecture andalouse - avec notamment la participation d’ouvriers marocains - et il appelle son palais Ennejma Ezzohra, "l’Etoile de Vénus".
Dans ce lieu prestigieux, d’Erlanger s’adonne à la peinture (précisément, en tant que portraitiste orientaliste), s’entoure de musiciens de l’époque, d’origines diverses et s’initie à la cithare sur table (le qanoûn). Il s’intéresse également aux traités musicaux arabes du Moyen-âge et finit par entamer son projet colossale qui prévoit, entre autres, la traduction de ces traités en français, la collecte et la transcription des répertoires musicaux de son époque.
Ses travaux et son intérêt pour la musique sont d’une importance telle que Farouk, le roi égyptien de l’époque, le charge de la préparation du Ier Congrès de la musique arabe, qui se tient du 28 mars au 3 avril 1932. D’Erlanger y travaille avec l’aide de musiciens tunisiens et proche-orientaux, ainsi que du baron, arabisant, Carra De Vaux. Malheureusement, sa santé ne lui permet pas de se rendre au Caire pour participer au congrès ; il décède le 29 octobre de la même année.
Grâce à ses collaborateurs, notamment son secrétaire Mannoubî Snoussî, le musicologue Henri George Farmer, le baron Carra De Vaux, le Syrien Alî Darwîsh et le Tunisien Ahmed al-Wâfi, six tomes sur la musique arabe vont voir le jour : le premier est publié du vivant de son auteur (en 1930), les cinq autres, respectivement, en 1935, 1938, 1939, 1949 et 1959.
Les travaux de d’Erlanger constituent une source d’informations incontournable pour les musiciens et les chercheurs. Le congrès du Caire, dont d’Erlanger a été la cheville ouvrière, a réuni des musiciens d’origines diverses, notamment des Occidentaux, comme Bartok et Hindemith, ainsi que le Turc Raoûf Yekta. Tous ont travaillé côte à côte pour consigner et appeler à la préservation d’un patrimoine qui, en définitive, appartient à l’Humanité tout entière, un patrimoine auquel ont participé aussi bien les Grecs que les Indiens, les Perses et les Arabes, et dont les musiciens et poètes européens du Moyen-ge à l’époque de l’Espagne andalouse se seraient inspirés, les Troubadours, puis les Trouvères et les Minnesänger.
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***QUELQUES RECTIFICATIONS SUR L HISTOIRE DU PALAIS DU BARON**
LE BARON D ERLANGER N A JAMAIS LEGUE SON PALAIS EN 1932 A L ETAT TUNISIEN LE PALAIS A ETE LEGUE A SON PETIT FILS, Y AVAIT MEME DES JARDINIERS TUNISIENS DONT JE CONNAIS PAS MAL ET DES GARDIENS MAROCAINS. ILS TOUCHAIENT LEURS SALAIRES DU FILS OU DU PETIT FILS DU BARON,QUI LUI VENAIT UNE FOIS PAR AN L ETE PASSER QUELQUES JOURS.APRES TOU CE LA LE PALAIS A ETE VENDU PAR LE MEMBRE DE LA FAMILLE A L AMMBASSADE ITALIENNE VERS LES ANNEES 80, PUIS A ETE RACHETE PAR L ETAT POUR LA PRESIDENCE, QUELLE A OFFERT AU MINISTERE DES AFFAIRES CULTURELLES POUR EN FAIRE UN MUSE DE LA MUSIQUE ARABE(ENEJMA EZZAHRA)
TEMOIGNAGE D UN FILS DU VILLAGE
TEMOIGNAGE D UN FILS DU VILLAGE
texte en anglais
Sidi Bou Saïd
If you follow the main Habib Bourgiba street on its north-east route from Carthage, you will reach the charming hillside village of Sidi Bou Saïd overlooking the Gulf of Tunis. Although most of the homes in the vicinity are also whitewashed with some blue trimming, the entire village of Sidi Bou Saïd boasts of this. As you walk up the cobblestone street to the top of the hill (only residential traffic is allowed), you soon find yourself caught in the atmosphere. Here, people sit at one of the local cafés (including several in which women can actually feel comfortable) and enjoy the sweet green tea with pine nuts, admiring the view of the Mediterranean, the architecture, or the many visitors.
Although Sidi Bou Saïd is on the agenda for most tours, the village is also a favorite for locals. Along the main street shopkeepers encouraged passersby to come into their shops to buy souvenirs such as pottery from Nabeul, carpets from Kairouan, "Sidi Bou" birdcages, and much more. Jasmine sellers with their white robes, red chechia hats, and jasmine behind their ear held out their fragrant wrapped jasmine bunches on a shallow woven platter hoping for a sale.
I especially liked wandering through the narrow cobblestone streets (many barely wide enough for a small car to pass through), admiring the studded doors, blue ornate window grills, and bougainvillea gleaming in the bright sunlight. After admiring the view of the turquoise sea and its graceful sailboats, I would often head down the hill to the Petite Suede, a wonderful little Swedish café with the best cake in Tunisia.
(i) The legacy of the Baron Rodolphe d’Erlanger
The ma'luf entered its first modern renaissance in the 1920s when the baron Rodolphe d'Erlanger, pioneering scholar and patron of traditional Arab music, turned his palace in Sidi Bou Said, on the outskirts of Tunis, into a centre of musical performance and scholarship. D'Erlanger believed that with the decline of traditional patronage and the increasing lure of Western influences, the very survival of the ma'luf depended on providing the fragile oral tradition with a foundation of music theory and notation.
The results of d'Erlanger's scholarly efforts were published posthumously in his monumental six-volume work, La Musique Arabe (1930-1959). Volumes 5 and 6, on the melodic modes, rhythms and forms of contemporary Arab music, were originally presented as reports to the 1932 Cairo congress, just a few months before d’Erlanger’s death that year.
The Baron Rodolphe d'Erlanger. Self-portrait (detail)
In his attempt to reconstruct an authentic sound for the ma’luf, before the widespread adoption of foreign Arab and Western instruments (6), d’Erlanger created the ensemble which represented Tunisia at the Cairo congress; it comprised an 'ud 'arbi (Tunisian short-necked lute with four strings) rabab (two-stringed boat-shaped fiddle), naqqarat (pair of small kettle-drums), tar (tambourine) and sawt al-taws (falsetto voice).
D'Erlanger's ensemble at the 1932 Cairo Congress
Spurred by the momentum of d’Erlanger’s project and the Cairo Congress, the Rashidiyya Institute was founded in Tunis in November 1934. Named after the 18th century aristocratic patron and amateur, Muhammad al-Rashid Bey, the Rashidiyya aimed both to conserve and promote the ma’luf and to promote the highest musical and literary standards in new Tunisian song composition. In contrast to d’Erlanger, who regarded European influences as the main threat to the ma’luf, the Rashidiyya’s Tunisian founders were motivated rather by their concern to defend Tunisian music from the pervasive influence of Egyptian music in the capital. In pursuit of its goals, the Rashidiyya not only created a new type of ensemble with distinctive sonorities and performance conventions; it also provided for the ma'luf a new institutional framework, social environment, and academic status
texte en francais
Sidi Bou Saïd
Cet ancien village de marabout fut jadis voué à la religion. En 1207, un mystique nommé Abou Saïd Khalafa ben Yahia s'y installa afin de développer le soufisme. La mort en fit un saint et la colline de Sidi Bou Saïd et devint un haut lieu de la spiritualité.
Autrefois village paisible de pêcheurs, il doit sa renommée internationale au baron anglais Rodolphe d'Erlanger qui s'y installa en 1912 et y fit construire un somptueux palais.
Amoureux de musique il ouvrit sa porte aux artistes de tout bord en organisant des rencontres et des soirées où se mêlaient art,musique et littérature. Après sa mort en 1932, ses héritiers léguèrent son patrimoine à la Tunisie.
Actuellement la palais, rebaptisé Ennejma Ezzahra, est devenu le Centre des Musiques
Arabes et Méditerranéennes. Il est ouvert au public qui peut admirer son magnifique musée d'instruments musicaux, son architecture et ses jardins.
Aujourd'hui Sidi Bou Saïd est devenu le rendez-vous des artistes, de la jeune bourgeoisie et des étrangers en mal d'exotisme, plusieurs galeries d'art y ont élu domicile... Mais c'est une pure merveille
d'architecture avec ses anciens palais restaurés, peints de blanc et de bleu, son ambiance feutrée de petit paradis...
vous adorerez le fameux café des Nattes, d'où vous dominerez la rue principale du village, où vous vous promènerez sans véritable but, le long des ruelles qui sont presque ensorce
sidi bou said

vue sur la baie de tunis en face hammam -lif
GRAND MERCI A MONSIEUR BERTRAND BOURET POUR CES RARES PHOTOS
Je, Bertrand Bouret, suis né à Tunis en 1946 et j'ai vécu à Salammbô, non loin des Ports Puniques pendant 18 ans. Mon père est né à La Marsa (Tunisie) d'un père "fonctionnaire colonial" né dans le Pas de Calais et d'une mère Italienne de Bisuschio, petit village près de Varese. Ma mère est née à Saïgon, Cochinchine (c'est écrit sur tous ses papiers officiels et elle y tient) d'un père né à Alger et d'une mère née au royaume d'Annam. Si on ajoute que je suis marié à une Boufarikoise, on aura tout compris.Je ne ferai pas de discours sur l'histoire de Carthage, d'autres sites le font à merveille, mais j'ai de vieilles cartes postales et photos de Tunisie qui peuvent intéresser, la Tunisie recevant de plus en plus de visiteurs curieux et pas seulement "de la viande qui rotît sur la plage".Dans la série "comment t'iétais, comment t'es devenu", j'ai publié ces vieux plans de villes. Ils sont lourds et je suis désolé pour ceux qui ont un accès lent, mais c'est le seul moyen de conserver leur lisibilité.(si vous en avez d'autres...)Et puis ces guides de voyages qui sont à la fois témoins de la technologie de l'époque et stupéfiants par les considérations des rédacteurs qui jugent les gens et le mode de vie de pays qu'ils ne font que traverser et où ils n'ont jamais vécu.
Mais pourquoi Terminus Carthage? Parce que de mon temps, certains TGM, le train Tunis-Goulette-Marsa faisaient demi tour à Carthage pour retourner à Tunis, et même si j'allais à Sainte Monique (Saïda depuis 1958) ou La Corniche qui sont plus loin, si j'entendais le controleur crier "Terminus Carthage" sur le quai de Douar Chott, je montais (de préférence en marche) dans le TGM pour assister à la manoeuvre depuis le quai de Carthage ou caché dans une cabine de controle qui malgré l'absence de poignée s'ouvrait avec une bonne vieille règle d'écolier en métal recalibrée et coudée. J'en ai utilisé beaucoup pendant ma scolarité, parce que le controleur nous les confisquait quand on se faisait chopper.
HOMMAGE AU TRAIN BLANC DE LA BANLIEUE NORD ( TGM)
ON NE PEUX PAS PARLER DE SIDI BOU SAID SANS PARLER DU SUPERBE
TRAIN BLANC (T G M) QUI RELEYAIT LE VILLAGE AVEC TOUTE LA BANLIEUE NORD ET TUNIS......
LA LIGNE A ETE INAUGURE EN 1872 RELIANT SEULEMENT TUNIS LA GOULETTE, MAIS APRES ELLE S EST ELARGIE RELIANT TOUTE LA BANLIEUE EN PASSANT PAR JULES FERRY (AVENUE HABIB BOUGUIBA DE NOS JOURS) TUNIS MARINE , LE BAC, LA GOULETTE x3 VERS LES ANNEES40,L AEROPORT( L AOUINA) KHEREDDINE,LE KRAM,SALAMBO,
DOUAR ECHOTT( BYRSA) DERMECH,HANNIBAL, AMILCAR,SIDI BOU SAID, L ARCHEVECHE, CORNICHE,MARSA PLAGE,SIDI ABDELLAZIZ,
MARSA VILLE ET DE LA IL VA VERS TUNIS......
VERS LA FIN DES ANNEES 50 ,LE TRAJET SIDI ABELLAZIZ, MARSA VILLE
TUNIS A ETE SUPRIME. LE TRAIN FAISAIT TRMINUS MARSA PLAGE ET TUNIS AVENUE HABIB BOURGUIBA( JULES FERRY) ET DE NOS JOURS LA GARE A ENCORE RECULE JUSQU A TUNIS MARINE. DEVENUE GARE DE
DEPART ET LE SUPERBE TRAIN BLANC EST REMPLACE PAR UN AUTRE TRAIN BLEU DE TRES MAUVAIS GOUT(VERS LES ANNEES 70)
NOTRE CHER TRAIN BLANC GISE QUELQUE PART(POUR TOUS CE QUI SE SENTENT CONCERNES FAITES QUELQUE CHOSE NE LES LAISSES PAS MOURIR )
UN GRAND MERCI A MONSIEUR BERTAND BOURET POUR SES IMAGES, SANS LUI JE NAURAIS PAS PU REALISE CE DOCUMENT
TRAIN BLANC (T G M) QUI RELEYAIT LE VILLAGE AVEC TOUTE LA BANLIEUE NORD ET TUNIS......
LA LIGNE A ETE INAUGURE EN 1872 RELIANT SEULEMENT TUNIS LA GOULETTE, MAIS APRES ELLE S EST ELARGIE RELIANT TOUTE LA BANLIEUE EN PASSANT PAR JULES FERRY (AVENUE HABIB BOUGUIBA DE NOS JOURS) TUNIS MARINE , LE BAC, LA GOULETTE x3 VERS LES ANNEES40,L AEROPORT( L AOUINA) KHEREDDINE,LE KRAM,SALAMBO,
DOUAR ECHOTT( BYRSA) DERMECH,HANNIBAL, AMILCAR,SIDI BOU SAID, L ARCHEVECHE, CORNICHE,MARSA PLAGE,SIDI ABDELLAZIZ,
MARSA VILLE ET DE LA IL VA VERS TUNIS......
VERS LA FIN DES ANNEES 50 ,LE TRAJET SIDI ABELLAZIZ, MARSA VILLE
TUNIS A ETE SUPRIME. LE TRAIN FAISAIT TRMINUS MARSA PLAGE ET TUNIS AVENUE HABIB BOURGUIBA( JULES FERRY) ET DE NOS JOURS LA GARE A ENCORE RECULE JUSQU A TUNIS MARINE. DEVENUE GARE DE
DEPART ET LE SUPERBE TRAIN BLANC EST REMPLACE PAR UN AUTRE TRAIN BLEU DE TRES MAUVAIS GOUT(VERS LES ANNEES 70)
NOTRE CHER TRAIN BLANC GISE QUELQUE PART(POUR TOUS CE QUI SE SENTENT CONCERNES FAITES QUELQUE CHOSE NE LES LAISSES PAS MOURIR )
UN GRAND MERCI A MONSIEUR BERTAND BOURET POUR SES IMAGES, SANS LUI JE NAURAIS PAS PU REALISE CE DOCUMENT
INAUGURATION DU TRAIN 1872

TUNIS LA GOULETTE
GARE DE TUNIS 1880

LE PREMIER TRAIN

L ANCETRE DU TRAIN BLANC
LE TRAIN A TUNIS
LES DEFIRANTES ANNEES DE METAMORPHOSE
LA GARE EN 1910

gare de la marsa 1910

LE TRAIN EN 1910

A TUNIS
AVENUE JULES FERRY EN 1911

ACTUELLEMENT AVENUE HABIB BOURGUIBA
TUNIS MARINE 1911

1912 TUNIS MARINE

LA STATION DE NOS JOURS
1918

JULE FERRY
GARE DE TUNIS 1920


1922

LE TRAIN N ETAIT PAS ENCORE BLANC
1940

JULES FERRY
1950

LE TRAIN A L ASPECT MODERNE
1954 L ANNEE DE MA NAISSANCE

AVENUE DE PARIS LETRAIN A COMMENCE A PRENDRE L ASPECT DU TAIN BLANC
TUNIS MARINE

LE PONT EXISTE ENCORE
TUNIS JULES FERRY

LE TRAIN TRAVERSANT LA BANLIEUE
GARE PAR GARE
GARE DE CARTHAGE 1920

1920 MARSA GARE

SIDI BOU SAID 1920

A CETTE EPOQUE LA Y AVAIT QU UNE SEULE RAME
GARE DE CARTHAGE 1930

GARE DE LA GOULETTE LES ANNEES 90

C EST LE NOUVEAU TRAIN.....
GARE L AOUINA 1940

L AEROPORT
GARE MARSA 1943

TRAIN CARTHAGE 1945

LE TRAIN BLANC ENTRE 1950 ET 60

A DOUAR ECHOTT(BYRSA)
GARE MARSA 1950

GARE MARSA AUJOURD HUI

LA GARE DE CARTHAGE HANNIBAL LES ANNEES 90

la gare de sidi bou said actuellement

LA FIN DU TRAIN BLANC

NE LES LAISSEZ PAS MOURIR COMME CA
LE REMPLACANT VERS LES ANNEES 70

TRAVERSANT DOUAR ECHOTT UN TRAIN DE TRES MAUVAIS GOUT
LA FAMEUSE CAGE A OISEAUX DE SIDI BOU SAID

ENCORE UNE LA CAGE A OISEAUX DE SIDI BOU SAID MAUS UN AUTRE MODEL PLUS ARTISANAT QUE TYPIQUE

LE BOUQUET DE JASMIN UN DES SYMBOLES DU VILLAGE DE SIDI BOU SAID

LE LYCEE DE CARTHAGE PRESIDENCE OU JAI FAIT MES ETUDES SECONDAIRES

sidi bou said

port de plaisance
sidi bou said

cage a oiseaux typique sidi bou said
A BIENTOT
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